MACRO ENTREPRENEUR

Expertise comptable et accompagnement stratégique
pour faire la synthèse et passer le cap !

Retrouvez ici nos expériences, nos idées, nos concepts, nos méthodes, nos outils, notre savoir-faire, pour les Micro Entrepreneurs qui souhaitent évoluer vers un autre statut.

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Défi de l'entrepreneur

Innovation et entreprenariat : rechercher le crash pour réussir

Sur le temps long, l’entreprenariat est indissociable de l’innovation : comment espérer devenir Macro Entrepreneur en ressassant éternellement les mêmes produits, les mêmes solutions, au fil de vos prestations? 

Il n’y a pas de secret : le succès vient à l’entrepreneuse, l’entrepreneur qui sait innover.  Toujours en mouvement, en recherche de nouvelles façons de faire, de nouveaux territoires … c’est une véritable stratégie d’entreprenariat : il s’agit de construire des « relais de croissance » qui garantiront, sur le long terme, d’être à l’abri de la concurrence, de se retrouver dépassé. 

Le problème ? Innover ne se décrète pas au petit matin, c’est un processus dans lequel il est particulièrement nécessaire… d’échouer. 

Dans cet article, on vous explique pourquoi.

Innovation et entreprenariat : rechercher le crash pour réussir

Innover et survivre

Il n’y a guère de secteur qui soit à l’abri du changement. Certes, il existe encore des corporations aux pratiques verrouillées, mais même pour ces situations de rentes le danger de se faire balayer par de nouveaux acteurs aux solutions innovantes n’est pas écarté. 

Le changement peut s’appréhender de trois manières :

1. Le subir : résister et faire tout pour que le changement n’apparaisse pas ;
2. Être réactif : réagir au changement par une motivation à donner le meilleur de soi-même ;
3. Être productif : anticiper, faire du changement un véritable moteur d’entreprise. 

La capacité à innover se situe résolument dans cette dernière attitude proactive. Quand on ambitionne de devenir Macro Entrepreneur et de le rester, mieux vaut être en harmonie avec la notion de changement permanent.

Cela semble évident, n’est-ce pas ? Dans ce cas, comment expliquer que certaines et certains entrepreneurs innovent et d’autres non ?
La réponse est à chercher du côté de la gestion de nos « peurs ».

Ces peurs qui nous paralysent

Probablement avez-vous fait également ce constat plutôt simple : avoir une bonne idée c’est à la portée de tout le monde, mais la mettre en œuvre c’est une autre affaire. Ceux « qui font » sont ceux qui gèrent le mieux leurs « peurs ».

OK, mais comment faire ? La meilleure manière de se débarrasser d’une peur qui nous empêche de passer à l’action, c’est de la regarder en face et de l’identifier par son nom. Plus vous développez une intelligence par rapport à vos émotions moins elles ont d’emprise sur vous. 

Passons en revue les principales peurs auxquelles nous sommes fréquemment confrontées quand il s’agit d’innover :

– La peur de l’imperfection : vous attendez d’être dans de bonnes dispositions, de meilleures conditions ou de disposer du temps nécessaire pour vous lancer dans le développement d’un nouveau produit ? Tant que tous ces facteurs ne sont pas réunis, tout le reste passe au second plan : décision, action, test… bonjour la procrastination ! 

– La peur de l’inconnu : vos prestations peuvent vous sembler parfois pénibles, terribles, voire carrément affreuses, mais vous vous y adaptez facilement car vous savez à quoi vous attendre… alors qu’un produit innovant engendre de l’inconnu, donc de la peur. Nombre d’entrepreneurs n’innovent pas, ou à la marge, et stagnent dans leur zone de confort car cela procure une certaine forme de bien-être ;

– La peur d’être jugé : certains sabordent leurs projets d’innovation tout à fait passionnants sous prétexte qu’ils ne veulent pas courir le risque d’être jugés par les personnes qui comptent dans leur environnement (concurrents, clients, …). Ces entrepreneuses et entrepreneurs vivent dans la peur de commettre des erreurs (d’être ridicule ?) et ignorent complètement à quel point celles-ci peuvent être bénéfiques, car elles sont porteuses aussi bien de grandes que de petites leçons.

Aller au crash et vaincre ses peurs

Heureusement, il existe des solutions, des postures pour dompter ces peurs. Voici, en résumé comment s’y prendre :

Solutions pour vaincre ses peurs

– Dompter la peur de l’imperfection : avant toute chose, il est nécessaire d’intégrer que la solution parfaite n’existe pas. Visez plutôt l’excellence, c’est une stratégie plus soutenable et motivante car cette excellence vous pouvez l’atteindre, alors que la perfection… Toutes celles et tous ceux qui ont réussi, quel que soit leur secteur d’entreprenariat, diront que parfois il est bon de passer à côté du but. Rien n’est plus libérateur et puissant pour l’esprit que de cultiver cette saine habitude de travailler l’excellence en faisant bien la différence entre l’excellence et la perfection ;

– Vaincre la peur de l’inconnu : à cause de cette peur de l’inconnu, certaines et certains construisent un système de croyances qui justifie le fait de ne pas passer à l’action. Ce système de croyances est souvent supporté par un ensemble de valeurs très ciblées sur la notion de sécurité. Rappelez-vous que la sécurité ne se trouve pas dans votre environnement professionnel « classique » (vos prestations et clients habituels) mais dans un état d’esprit, un état dans lequel vos ressources sont mobilisables pour innover à l’infini et ce quels que soient le contexte et la situation. L’innovation constitue la réelle sécurité ; 

– Anéantir la peur d’être jugé : les erreurs font tellement partie intégrante de notre vie que nous avons quand même intérêt à nous poser régulièrement la question : « Quelle leçon puis-je en tirer ? ». Les personnes qui se sont libérées de cette peur peuvent poser une multitude d’actions journalières et s’assurer qu’ainsi, jour après jour, elles se rapprochent de leur quotidien idéal. La meilleure stratégie pour l’entrepreneuse, l’entrepreneur innovant est alors d’apprendre à oublier des phrases du style : « qu’est-ce que je suis stupide ou maladroit ! » et de les remplacer par d’autres, comme : « de quelle façon puis-je agir la prochaine fois ? ».

De l’ensemble de ces solutions ressort une pratique transversale et fondamentale dans l’innovation : tester son idée jusqu’à ce qu’elle échoue, pour ensuite analyser l’échec et s’améliorer. C’est ce que nous appelons chez MacroEntrepreneur « rechercher le crash ». Le site même de MacroEntrepreneur, dans sa version actuelle, est le résultat de multiples crashs. Et malgré ces multiples crashs, il est encore loin d’être parfait, nous sommes d’accord 😊.

Les erreurs nous enseignent qu’il existe nécessairement une façon différente de procéder. Vous connaissez probablement l’exemple de Thomas Edison qui dû faire 1.600 essais infructueux avant d’inventer l’ampoule électrique. À un des journalistes, qui lui demandait pourquoi il consacrait ainsi tout son temps à un projet qui vraisemblablement n’aboutissait pas, Thomas Edison répondit : « Au contraire, je tiens des résultats. J’ai appris qu’il existe 1.600 mauvaises façons de procéder. »

Des échecs viennent l’innovation et la réussite

La meilleure voie pour innover consiste à vaincre ses peurs et passer à l’action. Pour cela, répondez le plus honnêtement possible aux questions suivantes :

Premièrement : « De quoi ai-je peur ? » Si vous parvenez à identifier vos peurs en les nommant, vous leur enlèverez une bonne partie du pouvoir qu’elles ont sur vous.

Deuxièmement : « Que se passerait-il si mes craintes se réalisaient de la pire manière qui soit ? » Quelles que soient vos craintes, amplifiez-les au maximum dans votre esprit. Posez-vous ensuite la question suivante : « est-ce que j’y survivrais, ou pas ? »

Soyez sûr d’une chose : une fois que vous aurez identifié vos craintes et que vous les aurez regardées en face, une fois que vous en aurez exagéré la portée et compris que leur impact sera moindre (voire que cela vous servira de leçon) alors vous vous sentirez libre d’entreprendre toutes les innovations que vous avez toujours laissé en suspens.

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Il n’y a pas de secret : le succès vient à l’entrepreneuse, l’entrepreneur qui sait innover.  Toujours en mouvement, en recherche de nouvelles façons de faire, de nouveaux territoires … c’est une véritable stratégie d’entreprenariat : il s’agit de construire des « relais de croissance » qui garantiront, sur le long terme, d’être à l’abri de la concurrence, de se retrouver dépassé. 

Le problème ? Innover ne se décrète pas au petit matin, c’est un processus dans lequel il est particulièrement nécessaire… d’échouer. 

Dans cet article, on vous explique pourquoi.

Innovation et entreprenariat : rechercher le crash pour réussir

Innover et survivre

Il n’y a guère de secteur qui soit à l’abri du changement. Certes, il existe encore des corporations aux pratiques verrouillées, mais même pour ces situations de rentes le danger de se faire balayer par de nouveaux acteurs aux solutions innovantes n’est pas écarté. 

Le changement peut s’appréhender de trois manières :

1. Le subir : résister et faire tout pour que le changement n’apparaisse pas ;
2. Être réactif : réagir au changement par une motivation à donner le meilleur de soi-même ;
3. Être productif : anticiper, faire du changement un véritable moteur d’entreprise. 

La capacité à innover se situe résolument dans cette dernière attitude proactive. Quand on ambitionne de devenir Macro Entrepreneur et de le rester, mieux vaut être en harmonie avec la notion de changement permanent.

Cela semble évident, n’est-ce pas ? Dans ce cas, comment expliquer que certaines et certains entrepreneurs innovent et d’autres non ?
La réponse est à chercher du côté de la gestion de nos « peurs ».

Ces peurs qui nous paralysent

Probablement avez-vous fait également ce constat plutôt simple : avoir une bonne idée c’est à la portée de tout le monde, mais la mettre en œuvre c’est une autre affaire. Ceux « qui font » sont ceux qui gèrent le mieux leurs « peurs ».

OK, mais comment faire ? La meilleure manière de se débarrasser d’une peur qui nous empêche de passer à l’action, c’est de la regarder en face et de l’identifier par son nom. Plus vous développez une intelligence par rapport à vos émotions moins elles ont d’emprise sur vous. 

Passons en revue les principales peurs auxquelles nous sommes fréquemment confrontées quand il s’agit d’innover :

– La peur de l’imperfection : vous attendez d’être dans de bonnes dispositions, de meilleures conditions ou de disposer du temps nécessaire pour vous lancer dans le développement d’un nouveau produit ? Tant que tous ces facteurs ne sont pas réunis, tout le reste passe au second plan : décision, action, test… bonjour la procrastination ! 

– La peur de l’inconnu : vos prestations peuvent vous sembler parfois pénibles, terribles, voire carrément affreuses, mais vous vous y adaptez facilement car vous savez à quoi vous attendre… alors qu’un produit innovant engendre de l’inconnu, donc de la peur. Nombre d’entrepreneurs n’innovent pas, ou à la marge, et stagnent dans leur zone de confort car cela procure une certaine forme de bien-être ;

– La peur d’être jugé : certains sabordent leurs projets d’innovation tout à fait passionnants sous prétexte qu’ils ne veulent pas courir le risque d’être jugés par les personnes qui comptent dans leur environnement (concurrents, clients, …). Ces entrepreneuses et entrepreneurs vivent dans la peur de commettre des erreurs (d’être ridicule ?) et ignorent complètement à quel point celles-ci peuvent être bénéfiques, car elles sont porteuses aussi bien de grandes que de petites leçons.

Aller au crash et vaincre ses peurs

Heureusement, il existe des solutions, des postures pour dompter ces peurs. Voici, en résumé comment s’y prendre :

Solutions pour vaincre ses peurs

– Dompter la peur de l’imperfection : avant toute chose, il est nécessaire d’intégrer que la solution parfaite n’existe pas. Visez plutôt l’excellence, c’est une stratégie plus soutenable et motivante car cette excellence vous pouvez l’atteindre, alors que la perfection… Toutes celles et tous ceux qui ont réussi, quel que soit leur secteur d’entreprenariat, diront que parfois il est bon de passer à côté du but. Rien n’est plus libérateur et puissant pour l’esprit que de cultiver cette saine habitude de travailler l’excellence en faisant bien la différence entre l’excellence et la perfection ;

– Vaincre la peur de l’inconnu : à cause de cette peur de l’inconnu, certaines et certains construisent un système de croyances qui justifie le fait de ne pas passer à l’action. Ce système de croyances est souvent supporté par un ensemble de valeurs très ciblées sur la notion de sécurité. Rappelez-vous que la sécurité ne se trouve pas dans votre environnement professionnel « classique » (vos prestations et clients habituels) mais dans un état d’esprit, un état dans lequel vos ressources sont mobilisables pour innover à l’infini et ce quels que soient le contexte et la situation. L’innovation constitue la réelle sécurité ; 

– Anéantir la peur d’être jugé : les erreurs font tellement partie intégrante de notre vie que nous avons quand même intérêt à nous poser régulièrement la question : « Quelle leçon puis-je en tirer ? ». Les personnes qui se sont libérées de cette peur peuvent poser une multitude d’actions journalières et s’assurer qu’ainsi, jour après jour, elles se rapprochent de leur quotidien idéal. La meilleure stratégie pour l’entrepreneuse, l’entrepreneur innovant est alors d’apprendre à oublier des phrases du style : « qu’est-ce que je suis stupide ou maladroit ! » et de les remplacer par d’autres, comme : « de quelle façon puis-je agir la prochaine fois ? ».

De l’ensemble de ces solutions ressort une pratique transversale et fondamentale dans l’innovation : tester son idée jusqu’à ce qu’elle échoue, pour ensuite analyser l’échec et s’améliorer. C’est ce que nous appelons chez MacroEntrepreneur « rechercher le crash ». Le site même de MacroEntrepreneur, dans sa version actuelle, est le résultat de multiples crashs. Et malgré ces multiples crashs, il est encore loin d’être parfait, nous sommes d’accord 😊.

Les erreurs nous enseignent qu’il existe nécessairement une façon différente de procéder. Vous connaissez probablement l’exemple de Thomas Edison qui dû faire 1.600 essais infructueux avant d’inventer l’ampoule électrique. À un des journalistes, qui lui demandait pourquoi il consacrait ainsi tout son temps à un projet qui vraisemblablement n’aboutissait pas, Thomas Edison répondit : « Au contraire, je tiens des résultats. J’ai appris qu’il existe 1.600 mauvaises façons de procéder. »

Des échecs viennent l’innovation et la réussite

La meilleure voie pour innover consiste à vaincre ses peurs et passer à l’action. Pour cela, répondez le plus honnêtement possible aux questions suivantes :

Premièrement : « De quoi ai-je peur ? » Si vous parvenez à identifier vos peurs en les nommant, vous leur enlèverez une bonne partie du pouvoir qu’elles ont sur vous.

Deuxièmement : « Que se passerait-il si mes craintes se réalisaient de la pire manière qui soit ? » Quelles que soient vos craintes, amplifiez-les au maximum dans votre esprit. Posez-vous ensuite la question suivante : « est-ce que j’y survivrais, ou pas ? »

Soyez sûr d’une chose : une fois que vous aurez identifié vos craintes et que vous les aurez regardées en face, une fois que vous en aurez exagéré la portée et compris que leur impact sera moindre (voire que cela vous servira de leçon) alors vous vous sentirez libre d’entreprendre toutes les innovations que vous avez toujours laissé en suspens.

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